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Electrosensibilité - son évolution, sypmtômes et conséquences

Les effets sur notre organisme

Environnement naturel

Notre corps, inséparable depuis des milliers d’années de l’environnement électromagnétique naturel de la terre et du cosmos, est constitué de milliards de milliards de cellules aux multiples interconnections qui produisent des émissions électromagnétiques qui déterminent alors des échanges de substances biochimiques.

Les cellules d’origine moléculaire, repose sur un langage d’électrons. Le tout est maintenu par des champs électromagnétiques de très faible intensité. Notre corps est régi par des processus électromagnétiques qui, eux‐mêmes, engendrent des ondes électromagnétiques.

Ainsi notre corps produit quantité d'ondes naturelles :

‐ le cœur a sa propre onde rythmique (dilatation et contraction de sa cavité). Pour un battement de 60 fois par mn, l’onde est de 1 Hz. La respiration crée une onde rythmique. Pour une respiration de 18 mouvements par mn, l’onde est de 0.3 Hz. Les mouvements rythmiques du cœur et de la respiration se produisent grâce à des impulsions qui trouvent leur origine dans l’activité électrique de nos cellules.

On peut enregistrer les ondes du cœur (électrocardiogramme), prouvé par Thomas Edison (1847-1931) et Albert Einstein (1879-1955), notre cerveau fantastique est un émetteur récepteur de fréquences. Dès 1924, le neurologue et psychiatre allemand Hans Berger (1873-1941), découvre l’électroencéphalographie (EEG)

Nos muscles aussi émettent et reçoivent mesurable par EM (électromyogramme)

Pour l’activité électrique du cerveau, on note 5 types de tracés correspondant à 5 lignes d’ondes :

  • onde alpha 8 à 12 Hz : personne en état de relaxation yeux fermés

  • onde bêta 13 à 30 Hz : personne en état d'éveil et augmentant fortement en activité

  • onde gamma 30 à 45 Hz : activité mentale intense

  • onde delta 0.5 à 4 Hz : sommeil profond yeux fermés

  • onde théta 4 à 8 Hz : prédominant chez les enfants normaux


 

Celles‐ci pourront être perturbées lors d'expositions aux ondes électromagnétiques artificielles. Pour mémoire la fréquence de notre installation électrique est 50Hz

Avant d’être un corps pensant, un corps actif, notre corps est un corps SENSIBLE SENSORIELLEMENT !

Le corps possède dans ses nombreux tissus divers capteurs sensitifs (mécanorécepteurs, viscérocepteurs, propriocepteurs, nocicepteurs…) qui l’informent en permanence, consciemment ou non, de son état tensionnel réactif. De nombreux circuits neurologiques sont constamment activés pour être ce que nous sommes à chaque instant de notre vie.


Ainsi la peau, le plus grand organe de sens, de même origine embryologique que le système nerveux, est un bouclier naturel contre les agressions extérieures, qu’elles soient biologiques, chimiques, électromagnétiques mais jusqu’à un certain seuil seulement.

 

Environnement artificiel


Dans le cas des irradiations électromagnétiques, la peau est un bien faible bouclier. Elle laissera passer ces rayonnements qui stimuleront les divers récepteurs sensoriels du corps se trouvant dans les tissus tels le derme, l’hypoderme, les muscles, les articulations, les vaisseaux, les organes et viscères, le cerveau riche en cristaux de magnétite.

Par voie réflexe, il apparaîtra une perturbation de l’homéostasie à l’origine de l’équilibre des fonctions physiologiques En présence des champs électromagnétiques artificiels d’hyper ou de basse fréquence, le corps va être hyper‐réactif sans que l’on en soit conscient jusqu’à un certain seuil de tolérance ; une fois devenu intolérant, si rien n’est fait pour éviter ces rayonnements, il est très facile de devenir EHS (électrohypersensible).

Selon la fréquence et la longueur d’onde, la pénétration du rayonnement sera plus ou moins important ou traversante. Les Hyperfréquences (7) du fait de leur courte longueur d’ondes pénètrent peu dans les tissus mais sont actifs sur les cellules présentes à leur niveau. Les Basses Fréquences ou ELF (10), par le champ électrique traversent le corps.

 

Symptômes déclenchés par les pollutions électromagnétiques

Avant de parler symptômes, il faut tenir compte de :

  • l’ensemble des champs émis par les différents émetteurs (téléphone portable, box WiFi, antenne‐relais, téléphone DECT (téléphone sans fil de la maison, etc.) créant un brouillard électromagnétique

  • la proximité de la source, l’intensité du champ

  • la durée d’exposition ou sa répétition, la permanence de(s) l’émission(s)

  • la posture statique de la personne (face à un écran, allongé dans son lit, assis dans un train..) mais aussi dynamique : téléphoner en marchant

Le Professeur Dominique Belpomme, cancérologue, premier médecin en France à dénoncer ce problème sanitaire décrit ainsi le SICEM (syndrome d’intolérance aux CEM) :



 

 

Phase inaugurale lente et progressive ou survenue brutale


Troubles neurologiques :

  • Maux de tête, raideur nuque, étau crânien

  • Douleur cutanée, articulaire, musculaire

  • Acouphènes, hypersensibilité aux bruits

  • Troubles visuels, flash visuel, nystagmus

  • Troubles de la sensibilité cutanée, musculaire

  • Sensation vertigineuse

  • Angoisse, panique, troubles de l’attention, de la concentration et de la mémoire immédiate

Troubles végétatifs :

  • Oppression thoracique, épisodes de tachycardie, variation importante de la tension artérielle

Troubles digestifs :

  • nausées, douleurs abdominales, diarrhée, constipation.

Phase d’état

 

Triade symptomatique :

  • Insomnie

  • Fatigue chronique

  • Dépression physiologique pouvant entrainer parfois une dépression psychologique (par incompréhension et isolement consécutifs)

A laquelle s’ajoutent : irritabilité, violence verbale, tendance suicidaire et perturbation de l’homéostasie.


 

Troisième phase

Si éviction des ondes électromagnétique (OEM) : amélioration de la santé.

Si persistance :

  • Risques sévères pour les enfants : anomalies psychologiques telles dyslexie, troubles de l’attention, de la concentration, de la mémoire de fixation à l’école et troubles du comportement incompréhensibles pour parents et enseignants

  • Risques pour la femme enceinte avec répercussion pour l’enfant à naitre

  • S'interpeler lorsqu'on a été diagnostiqué fibromyalgique, chimicosensible, fatigué chronique, ou atteint par la maladie de Lyme. Les symptômes de chacune de ces pathologies peuvent être exacerbés par les ondes électromagnétiques artificielles.

 

Conséquences

  • Risque pour l’adulte syndrome confusionnel d’intensité variable : perte de mémoire, survenue d’absences pouvant s’apparenter à la maladie d’Alzheimer chez le sujet jeune.

  • Cancers

  • Accidents cardiaques

  • Hypersensibilité aux produits chimiques (MCS)

  • Les EHS ou les intolérants aux OEM deviennent les rejetés de la société

 

 

Quel constat pour l’Homme ?

Les électrohypersensibles (EHS) : qui sontils ?

Ce sont des hommes et des femmes, comme vous et moi, des jeunes et des moins jeunes qui souhaitent tout simplement vivre, travailler, aimer, avoir une vie sociale…

Dans leur cas, le déclenchement des symptômes d’EHS, ou leur exacerbation, est très rapide même avec une infime pollution électromagnétique entraînant insomnie, épuisement, maux de tête intenses et persistants, troubles de la concentration, phénomènes inflammatoires, sensations de brûlures, etc.

Leur parcours (ou errance) médical(e) est très souvent le même : 1, 2, 3 médecins ; 1, 2, 3 psycho…, puis ostéopathes, naturopathes jusqu’à ce qu’ils arrivent enfin à faire le lien avec les ondes électromagnétiques par eux‐mêmes ou lors de rencontres ou par des recherches sur Internet…

Leur quotidien est soudain totalement remis en question, qu’il s’agisse de poursuivre une activité professionnelle, de faire leurs courses, de se rendre dans des lieux publics (salles d’attente, transports en commun, hôpitaux et cliniques pour s’y faire soigner, etc.).

Ces lieux pollués par l'électrosmog provenant des téléphones portables, réseaux WiFi, téléphones DECT ou antennes‐relais… réactivent et donc entretiennent leurs douleurs

 

Beaucoup de ces personnes perdent alors leur autonomie financière, l'accès aux soins, aux services publics, aux magasins et autres biens communs et elles doivent généralement faire face à l’incompréhension de l’entourage familial, médical, professionnel et amical, ce qui les amène à connaître la spirale de l’isolement voire de l’exclusion sociale. Certains allant jusqu’à se suicider !

Seul début d'espoir pour les EHS : les Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH).

 

Et nos descendants, alors ?

Dès la conception, l’embryon héritant d’un capital santé de ses parents sera souvent soumis pendant la durée de la grossesse au téléphone portable et/ou à la tablette de sa maman ou à ceux utilisés dans un environnement proche, de même qu’à la WiFi et au téléphone sans fil DECT. Comme la peau, le placenta n’est pas blindé !

Une fois né, le service de maternité pourra placer un bracelet électronique au poignet du nourrisson pour éviter un rapt et savoir à tout instant où il est... La puce de ce bracelet est un émetteur de radiofréquences... Mais quel en est le risque pour ce nouveau‐né ?

Une fois de retour à la maison, celui‐ci baignera dans l’électrosmog de l’habitation où l’on trouve le plus souvent : baby phone, box WiFi, téléphone sans fil DECT, tablette numérique, mais aussi rallonges électriques, télévision, ordinateur...

Puis, tout au long de sa scolarité, l’enfant baignera dans un bain d’ondes permanent du fait de la présence de réseaux WiFi, téléphones portables (technologies dites indispensables à notre Vie !)

On peut alors se poser des questions sur l’épuisement des enseignants et l’hyperexcitabilité des enfants. Ceux‐ci sont soumis à ces champs électromagnétiques 24h/24. D’autant qu’ils gardent leur téléphone en veille la nuit, sous l’oreiller le plus souvent ! Après le bac, ce sera pareil ! Puis pour trouver un emploi non exposé aux ondes, ce sera un véritable parcours du combattant.

Un constat évident : l'augmentation massive des maladies neurodégénératives en lien avec l’environnement tel Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaque, autisme… Si leur origine peut être multifactorielle, ne pas tenir compte de l’environnement électromagnétique est une grave erreur. Une étude récente réalisée aux US tend à montrer que l’autisme pourrait avoir pour origine une forte pollution du corps, chimique à laquelle se rajoute les OEM. Après un long sevrage l’autisme diminue.

 

Et les seniors ?

Dans les mains desquels on place ces technologies du sans‐fil que l’on a rendues indispensables à notre quotidien. Box WiFi, téléphone DECT, dispositifs de surveillance connectés sans fil sont dans leur environnement proche et les irradient en permanence. De même, ce téléphone portable qu’ils ne savent pas éteindre car c’est trop compliqué pour eux et qui émet régulièrement en veille dans leur poche ou sur leur table de nuit….

 

 

Et toutes ces personnes, fortes utilisatrices de nouvelles technologies ?

Nous recevons de très nombreux appels de personnes EHS ayant développé une hypersensibilité suite à une exposition prolongée aux rayonnements électromagnétiques sur une longue période ou pendant un temps court sous l’effet de champs électromagnétiques de forte intensité. Ils sont ainsi devenus intolérants aux ondes électromagnétiques suite à l’utilisation du téléphone portable, en voiture, dans le cadre professionnel ou bien en ayant été exposé à une source WiFi, un téléphone DECT, une tablette numérique… Cette intolérance les amène à remettre en question toute leur vie quand celle‐ci ne bascule pas totalement : chômage, séparation, désocialisation forcée, recherche de lieux de (sur)vie plus sains…

Le monde médical lui‐même est touché : des médecins, des kinésithérapeutes, des infirmières, des psychologues, des ergothérapeutes, des podologues, etc... Ces professionnels de santé devenus intolérants ou EHS se sont regroupés au sein d’un collectif lancé en 2017 : Collectif Santé Sans Onde.

 

Problématique de l’accès aux soins ?

Il est très difficile pour une personne intolérante aux OEM ou électrohypersensible d’être entendue médicalement ou d’avoir accès à des soins sans devoir s’exposer aux OEM. La méconnaissance de l’EHS est très répandue dans le monde médical, cependant de plus en plus de médecins ou thérapeutes s’interrogent quand ils ne sont pas eux‐mêmes victimes des ondes.

La Direction Générale de la Santé (DGS) a pris position officiellement par la note d’information DGS/EA/2014/171 du 26 mai 2014 relative à la gestion des risques liés aux radiofréquences, demandant à ce que tout soit fait pour permettre l’hospitalisation et l’accès aux soins des personnes devenues électrohypersensibles. Qu’en est-il vraiment ?


 

III. ÉTUDES ET PUBLICATIONS

1. Études

  • Rapport Bioinitiative 2007 : + de 1500 travaux publiés et non contestés, validé par le Parlement Européen de l’Environnement par un vote du 04 septembre 2008. Le rapport a été complété en 2012 par 300 études supplémentaires réalisées après 2006. Le scandale suite à cette étude c’est qu’elle fait l’objet de recommandation du parlement européen qui ne sont pas suivi entre autre par la France, alors que d’autres pays ou la ville de Paris (seule en France) ont baissés les seuils de leur réglementation.
  • ÉTUDE Hardell Suède : étude en double aveugle sur la variabilité du rythme cardiaque en présence d’un DECT.

  • Taiwan : étude sur 2042 enfants : association entre téléphone portable et maux de tête, migraine et irritation de la peau.

  • Iran : 2013 augmentation significative des symptômes dans un rayon de 300 mètres autour des antennes‐relais.

Nombreuses études concernant les effets nocifs des radiofréquences sur la fertilité, sur l’augmentation du taux de cancer à proximité d’antenne‐relais…

 

 

Les animaux non plus ne sont pas épargnés :

    • Étude Balmori (2005) cigognes :

    Baisse de la fertilité de 50% pour des nids situés à moins de 200 mètres des antennes‐relais par rapport à ceux situés à plus de 300 mètres. Troubles du comportement : disputes fréquentes du couple lors de la construction du nid, nids les plus affectés jamais terminés, mort fréquente de jeunes poussins…

  • Etude Dr. Ulrich Warnke, prof université de la Sarre. Les abeilles :

« Le maillage dense sans précédent par les champs électromagnétiques artificiels produit une écrasante désinformation des systèmes naturels des espèces qui perdent leurs repères »


Je tiens à votre disposition les références de dizaines d’autres études qui démontrent la nocivité des OEM. Alors rappelez-vous notre corps est sensoriellement sensible et qu’il vaut mieux prévenir que souffrir.

 

Effets établis sur le vivant de la pollution électromagnétique

 

La capacité des ondes à ouvrir la Barrière Hémato Encéphalique (BHE), les atteintes irréversibles de l’ADN observées prouvent de façon indiscutable le lien entre irradiation hyperfréquence et cancer.


En france, les scientifiques Pr Belpomme et Pr Roger Santini ont dénoncé les effets sur le vivant de la pollution électromagnétique, en particulier celle des antennes relais de la téléphonie mobile…

 

Docteur ès Science, expert pharmacologue-toxicologue et chercheur enseignant au laboratoire de Biochimie-Pharmacologie de l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon, le Pr Roger Santini était membre de l’Union Radio Scientifique Internationale (URSI), de la Bioelectromagnetics (société américaine) et de l’European Bioelectromagnetics Association…

 

Conclusion

De plus en plus d’éléments tendent à montrer que les expositions peuvent provoquer des déficits neurocomportementaux et que certaines personnes développent un syndrome d’électrohypersensibilité ou maladie des micro‐ondes, qui est l’un des différents syndromes communément classés sous « intolérance environnementale idiopathique ».

Bien que les symptômes ne soient pas spécifiques, de nouveaux indicateurs biochimiques et des techniques d’imagerie permettent des diagnostics qui excluent que les symptômes soient psychosomatiques.

Malheureusement, les normes (ou valeurs limites d'exposition du public aux ondes) établies par la plupart des organismes nationaux et internationaux ne visent pas à protéger la santé humaine.

Ceci est particulièrement préoccupant chez les enfants, compte tenu de la rapide expansion de l’usage des nouvelles technologies sans fil, de la plus grande sensibilité de leur système nerveux en développement, de l’hyperconductivité de leurs tissus cérébraux, de la plus grande pénétration des radiofréquences par rapport à la taille de leur tête et de l’exposition potentielle qu’ils subissent durant toute la durée de leur vie.

Une des plus importantes études jamais réalisées, menée par le ministère états-unien de la Santé, vient de montrer sans équivoque que l’exposition aux formes d’ondes employées en téléphonie mobile favorise l’apparition de tumeurs du cœur et du cerveau chez le rat [1]

l’OMS a classé les champs électromagnétiques au sein du groupe 2B, c’est-à-dire comme étant potentiellement cancérigène pour l’homme, au regard d’un risque accru de gliome, un type de cancer malin du cerveau. Le directeur du Centre international de recherches sur le cancer (Circ) de l’OMS a déclaré que, « étant donné cette classification, il est crucial que des recherches supplémentaires soient menées [et qu’en attendant] il est important de prendre des mesures pratiques afin de réduire l’exposition ».

 

Les sources

Les valeurs indiquées le sont à titre indicatifs et peuvent varier d’un appareil à l’autre.

En tant que Géobiologue professionnel je possède les appareils qui permettent la détection des OEM et je propose des solutions très souvent peu onéreuse pour vous éviter d’en arriver à des points de non-retour.

Vous trouverez sur mon site https://geobiologie-harmoniedeslieuxdevie.fr/ des informations complémentaires et n’hésitez pas à m’appeler pour en savoir plus. Je propose également des conférences sur la géobiologie et les ondes naturelles, Les ondes électromagnétiques et l’influence sur le vivant, la géobiologie en milieu agricole…

Merci

A l’association POEM26 de Romans qui m’a permis d’utiliser leur document pour rédiger cet article - poem26@ymail.com
Autres sources diverses sur internet sites https://www.robindestoits.org/ ; https://reporterre.net/

[1] « Major Cell Phone Radiation Study Reignites Cancer Questions. Exposure to radio-frequency radiation linked to tumor formation in rats », Scientific American, 27 mai 2016.

 

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Serge Labbaye

https://geobiologie-harmoniedeslieuxdevie.fr/